Ghost in the Shell – Edition Steelbook. Testé par Iluvatar.

Catégories :

 

Synopsis :

2029, Newport City. Le Major Motoko Kusanagi, femme cyborg ultra-perfectionnée, à la tête de la Section 9, une unité d’élite anti-terroriste, enquête sur un nouveau cyber-virus capable de contrôler les esprits et d’altérer les souvenirs de ses victimes. Le suspect principal, surnommé le « Marionnettiste », à la réputation aussi mystérieuse qu’insaisissable, devient la cible d’une traque intense sur fond de rivalité avec la section 6, à la solde du Ministère des Affaires Etrangères et de son mystérieux Projet 2501. Ecoutant sa voix intérieure, Motoko se lance corps et âme dans une quête sans relâche qui l’amènera à questionner son existence et sa part d’humanité.

Staff :

  • Œuvre originale : Masamune Shirow
  • Réalisateur : Mamoru Oshii
  • Script : Kazunori Ito
  • Musiques : Kenji Kawai
  • Character Design : Hiroyuki Okiura
  • Animateurs clés : Mitsuo Iso, Toshiyuki Inoue, Masahiro Ando.

Studio d’animation : Production I.G

Caractéristiques techniques Blu-Ray :

  • Format d’image : 1,85:1 – 16/9
  • Résolution 1920/1080P
  • Blu-Ray double couche (50GO) 28.8Go utilisés.
  • Bitrate Vidéo : 35 Mbps
  • Audio : Français (DTS 5.1 – 2.0) Japonais (DTS 5.1 – 2.0)
  • Sous-titres disponible : Français
  • Durée globale : film 82 minutes / Bonus : 58 minutes
  • Region de lecture : B/2

Bonus sur le disque :

  • Making off : 28 minutes
  • ITW du réalisateur : 37 secondes (l’éditeur indique 36 minutes sur la jaquette mais c’est incorrect)
  • Digital Works : 30 minutes

Bonus coffret collector :

  • Steelbook
  • Livret de 18 pages comprenant : Storyboard, Interviews, discutions autour du film.
  • L’ost du film (exclusivité Fnac).
  • La version 2.0 du film.

Critique technique :

 

Taille des fichiers :

Ce paragraphe va diviser pas mal de monde au vu du travail effectué par l’éditeur.

En premier lieu l’éditeur a annoncé que leur nouvelle version était une version remasterisée du film exclusive pour la France.

Il faut prendre cette déclaration avec des pincettes car si l’éditeur à en effet bien reçu de nouveaux fichiers, en l’occurrence une digitalisation faite spécialement pour notre édition, le master d’origine (celui fait au Japon en 2007 pour la toute première sortie du film en Blu-Ray) n’a lui pas été remasterisé, il n’y a pas eu de nouveau scan de la pellicule 35mm au Japon.

L’éditeur a donc reçu une nouvelle digitalisation de ce même Master de 2007.

Il est donc plus juste de dire que l’éditeur a réalisé un nouvel authoring du film, au lieu d’utiliser celui déjà disponible sur le marché, soit la version Japonaise de 2007, soit la version US/UK (qui ne sont pas terribles non plus au passage).

Précision au passage, il a été confirmé que la nouvelle ré-édition du film au Japon prévue pour cet Avril utilisera le même master que l’édition de 2007, nous ne somme donc pas prêt d’avoir une véritable remasterisation de ce film avant longtemps.

Parlons de ce nouvel authoring donc.

Comme beaucoup de monde l’aura remarqué, l’éditeur a axé sa communication sur le fait que le film avait été traité pour éliminer certains défauts visuels, manque de piqué, trace de gélatine, crasses sur l’image, ainsi que la suppression du grain.

C’est sur ce dernier point que je vais m’attarder car le reste du travail de l’éditeur est plutôt bon, l’image est nette, propre, les couleurs sont bien respectées, il n’y a pas de saccades dans les différents travellings, pas ou très peu de Banding ou de postérisation ainsi que d’artefacts de compression, mais je vais revenir sur ces 3 points plus bas.

L’éditeur à prit la décision de supprimer le grain du film d’origine, grain présent dû au fait que le film vient à l’origine d’une pellicule de 35mm.

Cette technique qui consiste à supprimer le grain du film ou de n’importe quelle vidéo s’appelle le DNR, pour « Digital Noise Reduction » en anglais.

Dans certains cas rares, quand le grain est beaucoup trop présent au point d’en gêner la lecture d’une vidéo ou que le grain est ajouté de manière artificielle sur une vidéo, le réduire n’est pas une mauvaise chose, cependant il faut bien faire attention quand on retire ce grain, car le retirer peut faire apparaitre des défauts qui justement étaient cachés par la présence de ce grain, comme de la postérisation, du colorbanding ou des artéfacts de compression.

Supprimer complètement le grain peut aussi aboutir à de terribles résultats ou de nombreux détails de l’image d’origine sont aussi supprimés dans le process, tout le monde se souvient de la version Blu-Ray des Cités d’Or de l’éditeur Kaze.

A noter aussi que dans beaucoup d’anciens films, la présence du grain ajoute une certaine patte au film, lui donnant un cachet unique.

Dans notre cas la suppression de ce grain fait apparaitre ces 3 défauts ainsi qu’une petite perte de détails dans l’image, cependant il est quand même bon de noter qu’ils apparaissent de façon mineure, seules les personnes qui feront très très attention à cela durant les scènes sombres ou les scènes ou il y a de forts dégradés de couleurs remarqueront ces défauts.

Je vous ai mis certains screenshots qui montrent ce problème : http://imgur.com/a/Y6ffchttp://imgur.com/a/reL2Lhttp://imgur.com/a/Ezu1L

Vous pouvez voir que dans le dégradé (Blanc/noir) autour de Motoko sur les 2 premiers screenshots, ou sur l’habit du militaire sur le 3e, il y a de la postérisation du Banding et des artéfacts, défauts qui ne sont pas présent sur la version Japonaise dû justement au grain qui cache cela.

Je tiens cependant à nuancer que ces rares moments ont été les plus flagrant pour moi durant tout le film, le reste étant bon et ne présentant pas ces problèmes, du moins pas aussi visible.

Hormis ce DNR, que certains apprécieront car il donne une image plus nette et lisse au film comme beaucoup de production de nos jours, ou que d’autre détesteront car il retire un certain cachet au film en plus de faire apparaitre dans de rares occasions certains défauts cité plus haut, l’image peut paraitre un peu plus floue aussi sur certains plans, il n’y a pas d’autres choses à redire sur ce nouvel authoring.

Je contredirais juste certaines critiques affirmant que ce DNR dénature complètement ce film, ce n’est pas vrai, il retire certes une certaine patte visuelle au film mais ne le dénature pas.

Petite précision, étant donné le format cinémascope du film, il y a de petites bandes noires en haut et en bas de l’écran.

Voici quelques comparaisons entre la version FR et la version Japonaise de 2007.

(la première comparaison est un bon exemple pour voir que l’image est plus floue et que certain détails ont été perdu lors du passage au DNR, regardez le haut des tours).

http://screenshotcomparison.com/comparison/204722/picture:0

http://screenshotcomparison.com/comparison/204723/picture:0

http://screenshotcomparison.com/comparison/204724

http://screenshotcomparison.com/comparison/204725

http://screenshotcomparison.com/comparison/204726

http://screenshotcomparison.com/comparison/204727

http://screenshotcomparison.com/comparison/204728

http://screenshotcomparison.com/comparison/204729

http://screenshotcomparison.com/comparison/204730

Album complet de screenshots de l’édition Blu-Ray FR :

http://imgur.com/a/N2mtP

Et pour la comparaison rigolote quelques screenshots de la version DVD d’époque :

http://imgur.com/a/3aJEg

Passons maintenant à la partie audio.

Ici c’est du tout bon, nous avons enfin droit a une piste son en DTS 5.1 de très bonne qualité pour le Japonais comme pour le Français.

Vous avez aussi le choix de mettre le film en stéréo 2.1 si vous n’avez pas le matériel pour de la 5.1.

La comparaison entre la bande son présente sur le Blu-Ray et la vielle 5.1 présente sur la version DVD est assez saisissante.

Le son est clair et agréable a écouter et il est bien « punchy » dans les moments d’actions, il n’y a pas de problème de mixage et même si on peut se rendre compte que les années du doublage se font sentir, il reste d’excellente facture, que ce soit en VF comme en VO.

Ghost in the Shell est à mes yeux une des très/trop rare licence d’animation à avoir eu droit à une VF d’excellente qualité, au point de rivaliser avec la VO, je ne peux que vous conseiller de l’écouter si vous ne l’avez jamais fait auparavant.

Un très bon point pour cette édition donc.

Maintenant abordons un point qui fâche (pas qui divise comme pouvais l’être la partie vidéo).

Le sous-titrage FR.

Autant au point de vue de la présentation des sous-titres il n’y a pas de problèmes à signaler, ils sont facilement lisibles, même dans les scènes très claires, car les bordures noires autour du texte est assez gros pour que le sous-titrage ne se fonde pas dans l’image.

Ils respectent les normes de sous-titrage, c-à-d pas trop long, et ne dépassent jamais les 2 lignes de textes.

La ou le problème se situe c’est dans la traduction.

L’éditeur a choisit de ré-utiliser la traduction de l’époque du DVD, et le gros problème avec cette traduction, c’est que non seulement elle contient des erreurs, mais en plus elle est censurée.

A cela se rajoute le fait que l’éditeur n’a visiblement pas re-checké les sous-titres car certaines erreurs de la traduction a l’époque du DVD sont toujours présente ici, un petit exemple ici : http://screenshotcomparison.com/comparison/204713 Dans la version originale ainsi que dans la VF c’est le terme « conscience » qui est utilisé, et qui correspond bien évidemment au reste du dialogue de Motoko, une erreur aussi flagrante (surtout que la VF est correcte elle) aurait pu être facilement vue et corrigée si un check complet des sous-titres avait été fait au lieu de juste transférer les sous-titres de la précédente édition DVD.

Autre exemple ici : http://imgur.com/a/iEQrK mais cette fois c’est une question de censure, dans la version original le dialogue de Motoko est en rapport avec ses règles, ici c’est la VF ainsi que la vostfr qui ont été censurés.

A noter d’ailleurs que cette traduction FR des sous-titres est en fait une traduction de l’anglais, elle-même traduite du Japonais.

Cette traduction est donc une déception assez importante pour ceux qui espéraient enfin pouvoir voir ce film dans les meilleures conditions possible.

Critique coffret collector :

L’éditeur nous offre ici une édition steelbook de bonne qualité, l’éditeur ayant enfin décidé d’utiliser ce genre de boitier à la place des metalpack qu’il utilise sur d’autres franchises comme la trilogie du projet Itoh par exemple.

Le gros problème des metalpack étant que ces derniers ne possèdent pas de tranches et que les jointures qui relient les deux parties du boitier sont de bien moins bonnes qualités.

C’est donc avec plaisir que nous accueillons, ce genre de steelbook du fabricant Scanavo, espérons que l’éditeur continuera dans cette voie pour leurs futurs boitiers métal.

Le coffret contient 2 blu-ray, 1 pour le film original et 1 autre pour la version 2.0, ainsi que 1 livret de 18 pages remplit quasi exclusivement d’interview avec le réalisateur et de discutions autour du film.

Les 2 dernière pages du livret sont quand à elle dédiés au StoryBoard.

Petit ajout très agréable de la version Fnac, l’OST magistral du film par Kenji Kawai, le CD est contenu dans une petite pochette en carton illustrée par le même artwork qui a servit de cover pour l’édition Blu-Ray « 25th Anniversary Edition ».

Le CD contient 11 pistes.

Conclusion :

Que dire si ce n’est que mon avis est mitigé, je suis content de pouvoir enfin revoir ce chef-d’œuvre cinématographique en HD et avec un son de qualité mais je suis aussi un peu déçu du choix de l’éditeur d’avoir utilisé du DNR pour leur édition, alors certes ça ne dénature pas l’œuvre en elle-même et il y a des films/séries qui ont subit des DNR bien bien bien pire, mais je trouve qu’un certain cachet de l’image du film à disparu avec.

La plus grosse déception cependant vient de la traduction vostfr qui est indigne d’un film de cette trempe, j’aurais pu accepter que certains dialogues soit adaptés (on ne peut pas faire une traduction mot à mot) mais des erreurs aussi grossières que celle cité plus haut, ou de la censure, passe beaucoup plus difficilement.

Le packaging quand a lui est a mes yeux très bon, les amateurs de boitiers métal seront très certainement ravi, et le livret est un bon moyen d’approfondir encore plus sa connaissance des coulisses de ce film.

On peut aussi saluer l’initiative de l’éditeur d’offrir l’excellente OST de ce film pour ceux qui prendront la version Fnac et pour les 2-3 fous du fond le Blu-Ray de la version 2.0.

Au final : est-ce que cette édition est l’ultime édition parfaite du film tant attendue ? : Non

Est-ce que cette édition est un ratage ? : Non.

Je conseillerais cette édition au gens qui n’ont jamais vu le film ou à ceux qui ne possèdent que la version DVD de l’époque, la différence visuelle et sonore est quand même assez monstrueuse en faveur de cette nouvelle version Blu-Ray.

Par contre je ne conseillerais pas spécialement cette édition pour ceux qui ont déjà vu le film en HD ailleurs, j’entends par la les possesseurs de l’édition Blu-Ray de l’éditeur Manga UK/US ou de l’édition Japonaise de 2007.

Certes ces éditions ne sont pas parfaites non plus (en particulier les versions US/UK qui ont aussi leurs problèmes vidéo et de traductions) mais elles ont le mérite de conserver le grain du master d’origine.

Le film est disponible en 4 éditions.

-Edition collector

-Edition collector spécial Fnac

-Edition Simple

-Edition DVD.

Fichier Media Info :

General
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Complete name                  : F:\BDMV\STREAM\00009.m2ts
Format                         : BDAV
Format/Info                    : Blu-ray Video
File size                      : 23.6 GiB
Duration                       : 1h 22mn
Overall bit rate mode          : Variable
Overall bit rate               : 40.9 Mbps
Maximum Overall bit rate       : 48.0 Mbps

Video
ID                             : 4113 (0x1011)
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Format                         : AVC
Format/Info                    : Advanced Video Codec
Format profile                 : High@L4.1
Format settings, CABAC         : Yes
Format settings, ReFrames      : 4 frames
Codec ID                       : 27
Duration                       : 1h 22mn
Bit rate mode                  : Variable
Maximum bit rate               : 35.0 Mbps
Width                          : 1 920 pixels
Height                         : 1 080 pixels
Display aspect ratio           : 16:9
Frame rate                     : 23.976 fps
Standard                       : NTSC
Color space                    : YUV
Chroma subsampling             : 4:2:0
Bit depth                      : 8 bits
Scan type                      : Progressive
Color primaries                : BT.709
Transfer characteristics       : BT.709
Matrix coefficients            : BT.709

Audio #1
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Format                         : DTS
Format/Info                    : Digital Theater Systems
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Bit rate                       : Unknown / 1 509 Kbps
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Bit depth                      : 24 bits
Compression mode               : Lossless / Lossy

Audio #2
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Format                         : DTS
Format/Info                    : Digital Theater Systems
Format profile                 : MA / Core
Mode                           : 16
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Bit rate mode                  : Variable
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Channel positions              : Front: L C R, Side: L R, LFE
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Audio #3
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Format                         : DTS
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Duration                       : 1h 22mn
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Compression mode               : Lossless / Lossy

Audio #4
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Format                         : DTS
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Duration                       : 1h 22mn
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Text #1
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Text #2
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Format                         : PGS
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2 réponses

  1. tenia dit :

    Juste une précision : la postérisation et les artefacts de compression sont en général indépendants de l’utilisation de DNR. Si le grain peut agir comme dither, des artefacts de compression peuvent être visibles sur un film granuleux (et pas qu’un peu, le grain fin d’une restauration 4K pouvant se transformer en paté) tout comme le banding peut être la résultante d’un encodage mal optimisé (rien à voir avec le débit vidéo, je parle de l’optimisation des options de l’encodeur).

  2. jhudson dit :

    Les Blu-Ray des Cités d’Or de l’éditeur Kaze ont été fait d’après de vieux masters SD surement analogique bourré de bruits , qu’il a bien fallu masquer avec du DNR .

    Traitement identique pour les séries de la Toei Animation dont le studio ne veux pas financer un scan HD .

    Donc ce n’est pas comparable, ces Blu ray n’auraient jamais du voir le jour car les masters HD n’existent pas , mais ça n’arrête pas certains éditeurs.

    Essayer de faire disparaitre le grain argentique , c’est une autre mauvaise manie de ces éditeurs qui au lieu de respecter l’œuvre d’origine, essayent justement d’en gommer la nature.

    Un animé produit sur celluloïd ne ressemblera jamais a un récent produit en numérique 2K, chose qu’ils devraient comprendre .

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